Ce lundi 23 septembre, c’était la rentrée des classes pour la première promotion de Label école, notre école e-commerce de la seconde chance. Nos 16 apprenants ont été accueillis par Thierry Petit, co-fondateur de showroomprivé.com et parrain de la promotion. 

Chez Label Emmaüs, nous avons la conviction que le secteur du e-commerce offre un réel potentiel d’insertion professionnelle pour les personnes peu ou non qualifiées. 

Qui sont nos apprenants ? 8 femmes et 8 hommes, de 21 à 61 ans sans qualification spécifique mais très motivés par les métiers de la vente en ligne et du numérique. Parmi eux, 4 compagnons d’Emmaüs qui peuvent être logés pendant la durée de la formation grâce à notre campagne de crowdfunding Ulule de mai. Merci à vous ! 

Grâce au soutien de la Grande École du Numérique, de la Fondation de France et d’Est Ensemble, nos apprenants vont suivre 3 mois de formation gratuite animée par les professionnels du e-commerce, suivie d’un stage de 2 mois ! Showroomprivé.com, Manomano, WebHelp, PrestaShop ou encore Ulule…c’est tout le secteur du e-commerce qui se mobilise avec plus d’une vingtaine de salariés qui viendront animer bénévolement le parcours de formation et s’engagent à accueillir les apprenants en stage ensuite.

A la clé, la découverte de l’ensemble des métiers du secteur webmarketing, social media, logistique, développement informatique, merchandising, graphisme…) et un diplôme d’Animateur e-commerce. 

Label école a pour objectif l’insertion professionnelle des apprenants, que ce soit par la poursuite d’une formation qualifiante, un retour immédiat à l’emploi, ou la création d’une activité indépendante.  Les futurs diplômés pourront ainsi prétendre à des postes de responsable e-commerce, web marketeur, trafic manager, content marketeur, responsable affiliation… 

Autant d’opportunités pour remettre l’humain au centre d’un secteur dématérialisé grâce à une transition numérique solidaire !

En savoir plus sur Label école 

Anne-Sophie Tournadre

Anne-Sophie Tournadre

Sensible aux injustices sociales et consciente de l'urgence d'une transition écologique, je pense - comme le disait l'Abbé Pierre - qu'il ne faut pas attendre d'être parfait‧e pour commencer quelque chose de bien.

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